Impôts

Le lobbying des américains à Davos

Donald Trump a brillé de sa présence lors du grand rendez-vous annuel de Davos.  Un plaidoyer en bonne et due forme a été effectué par la délégation envoyée par le président américain durant la réunion des élites mondiales. Convaincre les banquiers européens après le lancement de son fameux » America First « et l’anti-mondialisation martelées par le candidat républicain durant sa campagne a été l’objectif des conseillers de Trump. Les patrons de l’économie mondiale sont perplexes face à cette ambiguïté au niveau de la Maison Blanche. Bien que Trump ait longtemps fait parler de lui en tant que milliardaire que le tout nouveau président, Davos se souviendra de ce nom vu qu’il a semé intrigue, inquiétude et espoir dans l’esprit des patrons d’entreprises étrangères.

L’incertitude règne à Davos, les américains rassurent

Le discours protectionniste de Trump n’a pas persuadé les banquiers européens. Par contre, le doute s’installe et la crainte d’une politique américaine affectant l’économie mondiale revient souvent dans les couloirs de Davos. Si l’on ne cite que les entreprises suisses qui se demandent de leur avenir dans l’économie mondiale si Trump s’obstine à monopoliser le marché américain. D’un autre côté, Mary Callahan Erodes, patronne de la banque américaine JP Morgan Asset Management rassure en annonçant la présence des anciens banquiers de Goldman Sachs dans l’administration Trump doit réconforter les patrons des entreprises étrangères vu qu’ils sont soucieux de la croissance économique.

Dans l’attente de résultat

Après les élections présidentielles, malgré les incertitudes qui ont marqué le marché la présidente de la banque centrale américaine, Janet Yellen a annoncé que la valeur de son titres’est vu croître de près de 30 %. C’est une réaction de court terme a annoncé le prix Nobel d’économie, Joseph Stiglitz. Ce dernier a continué qu’en baissant les impôts et en augmentant les dépenses, le déficit public va augmenter, donc l’épargne nationale va diminuer. Joseph Stiglitz résume donc que le déficit commercial va devoir augmenter. Tous, sont pour l’heure en attente de cette fameuse oscillation pendulaire qui va être positive pour les entreprises.

 

 

 

À propos de l'auteur

Leonard

Passionné par l'économie et les finances personnelles, je suis actuellement consultant indépendant en optimisation fiscale. i-argent.fr est mon blog pour partager mes astuces, conseils et actualités liés à la gestion de ses finances.